Troostwijk organise une vente aux enchères de fin d’année regroupant du matériel de construction et du matériel agricole. La valeur du matériel mis aux enchères s’élève déjà à 10 millions d’euros. Les entreprises peuvent apporter du matériel à vendre aux enchères jusqu’au 6 décembre.
 
« Chez Troostwijk, nous profitons de nos ventes aux enchères pour encourager la réutilisation des machines et pour prolonger leur durée de vie, contribuant ainsi activement à une consommation plus durable et à une économie circulaire. En donnant une seconde vie à ces équipements, nous pouvons tous apporter notre pierre à l’édifice. Les ventes aux enchères de fin d’année, dans le secteur de la construction et de l’agriculture, ont déjà beaucoup de succès chaque année, mais nous espérons pouvoir motiver encore plus le secteur cette année », déclare Andy Vons, directeur général de Troostwijk.

Les ventes aux enchères de matériel de construction et de matériel agricole en fin d’année chez Troostwijk sont uniques dans le secteur en termes d’offre et de montant que le vendeur peut obtenir de ses anciennes machines.

De plus, selon Troostwijk, les délais de livraison des nouvelles machines sont actuellement très longs : ils s’étendent jusqu’à fin 2022, voire début 2023. Se transmettre les machines existantes est donc tout aussi intéressant pour les acheteurs que pour les vendeurs. Les enchères de fin d’année touchent des enchérisseurs en ligne de plus de 60 pays, qui soumettent au total plus de 20 000 offres.

Actuellement, la valeur du matériel mis aux enchères s’élève à 10 millions d’euros. L’offre comprend des excavatrices, des chargeuses sur roues, des tracteurs, des tondeuses à gazon, des nacelles à ciseaux, des chariots élévateurs et des compresseurs, entre autres, provenant de clients belges et britanniques. Cette année, les machines de grande valeur font également partie de la vente aux enchères de fin d’année. Il s’agit de machines très récentes pour lesquelles la surenchère n’est que de 5 %, ce qui est très intéressant pour les acheteurs et les vendeurs. Ces machines ont une valeur minimale de 30 000 €. Ceux qui veulent donner une seconde vie à leur matériel peuvent encore l’apporter à Deinze ou à Melreux jusqu’au 6 décembre. Il est également possible de vendre aux enchères depuis son propre site.