Pour justifier cette décision, le manufacturier japonais invoque un marché du pneumatique confronté à de nombreuses difficultés depuis plusieurs années. Outre les conséquences à venir liées à la pandémie de la Covid-19, Brigestone parle aussi d’une concurrence asiatique, dont il estime que les parts de marché ont crû de 6 % à 25 % entre 2000 et 2018. Des tendances qui entraînent une surcapacité de production en Europe ainsi qu’une une pression sur les prix. Une annonce qui a fait l’effet d’une bombe pour les 963 salariés de l’usine de Béthune.
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