« Il est plus facile de développer son réseau de distribution à domicile », lance, amusé, Maurice Stanich, PDG de Montabert. La France reste encore un terrain de jeu fortement stratégique pour le constructeur qui compte une trentaine de distributeurs. Un chiffre qui pourrait bien évoluer.
PUBLICITÉ
Le phénomène de concentration observé au sein des réseaux de distribution chez les constructeurs de machines TP ne semble pas toucher Montabert qui voit là surtout « un effet de mode ». L’industriel lui préfère un système mixte, mêlant de la vente en direct, à l’image de la maison-mère Komatsu.