La sablière Cemex de Sandillon est en pleine rénovation de son outil de production, avec Sandvik comme principal partenaire.
Bénéficiant depuis 2005 d’une autorisation d’extraction de 250.000 t de matériaux en moyenne chaque année, elle se dote d’une unité fixe de traitement moderne, répondant aux impératifs actuels de sécurité, de qualité de production, de préservation de l’environnement et d’économie des ressources naturelles. Actuellement en cours de montage, la nouvelle installation doit par exemple économiser jusque 15% d’électricité et 30% d’eau par rapport à l’actuelle usine de traitement. Pour ce faire ; avec comme fournisseurs les entreprises Sandvik (conception et réalisation de l’installation fixe), Forclum (électricité et automatismes), Sotres (traitement des sables) ; Cemex aura investi pas loin de 4 M€ sur 3 ans. Les opérations se déroulent sous une double contrainte : le maintien de la production dans l’unité appelée à disparaitre et un environnement classé au patrimoine mondial de l’Unesco (rives de la Loire, au sud-est d’Orléans). Le chantier bat actuellement son plein, avec des réunions hebdomadaires pour tous les acteurs, sachant que la livraison de la nouvelle usine est prévue pour le dernier trimestre 2011. La revalorisation des anciens outils de production sera prise en charge par la société Ma.Ca.Mat.
Bénéficiant depuis 2005 d’une autorisation d’extraction de 250.000 t de matériaux en moyenne chaque année, elle se dote d’une unité fixe de traitement moderne, répondant aux impératifs actuels de sécurité, de qualité de production, de préservation de l’environnement et d’économie des ressources naturelles. Actuellement en cours de montage, la nouvelle installation doit par exemple économiser jusque 15% d’électricité et 30% d’eau par rapport à l’actuelle usine de traitement. Pour ce faire ; avec comme fournisseurs les entreprises Sandvik (conception et réalisation de l’installation fixe), Forclum (électricité et automatismes), Sotres (traitement des sables) ; Cemex aura investi pas loin de 4 M€ sur 3 ans. Les opérations se déroulent sous une double contrainte : le maintien de la production dans l’unité appelée à disparaitre et un environnement classé au patrimoine mondial de l’Unesco (rives de la Loire, au sud-est d’Orléans). Le chantier bat actuellement son plein, avec des réunions hebdomadaires pour tous les acteurs, sachant que la livraison de la nouvelle usine est prévue pour le dernier trimestre 2011. La revalorisation des anciens outils de production sera prise en charge par la société Ma.Ca.Mat.