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L’année dernière, de façon précoce, GTRGaz et Terega (ex TGIF) avait tiré le signal d’alarme sur des réserves de gaz dangereusement basses. Une situation préoccupante qui aurait pu, en cas d’hiver rigoureux, provoquer une tension sur l’approvisionnement voir, en cas extrêmes, provoquer des coupures de fourniture. Heureusement, la météo a été clémente et cette situation compliquée n’a pas provoqué de pénurie pour les consommateurs. Qu’en est-elle cette année ?