Alkern accompagne les responsables publics et les spécialistes des travaux publics dans l’aménagement de la cité du futur. Et c’est un challenge puisqu’il faut relever les défis posés par l’artificialisation des sols et le développement de l’habitat dense et vertical en ville. Des facteurs à l’origine d’inondations à répétition dans les territoires et de la multiplication des îlots de chaleur dans l’espace urbain. L’artificialisation des sols en France ne cesse de progresser. Entre 2006 et 2015, elle a cru de 1,6% par an et, désormais, ce sont 9,3% du territoire hexagonal qui sont recouverts d’un matériau imperméable à l’air et à l’eau.
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Cette perte de perméabilité des terrains s’avère source de conséquences redoutables. L’eau ne s’infiltre plus dans le sous-sol mais reste à la surface pour être immédiatement dirigée vers les collecteurs. Une simple comparaison suffit à comprendre l’impact de l’artificialisation. En effet, si on considère généralement que dans une zone naturelle, 50% des eaux de pluies s’infiltrent dans les sols, 40% s’évaporent et 10% restent en surface, en revanche en zone urbaine, 15% seulement s’infiltrent, moins de 30% s’évaporent et 55% restent à la surface. Du côté des îlots de chaleur, la situation n’est pas beaucoup plus brillante à cause de la densité en bâtiments et particulièrement en bâtiments construits en hauteur qui absorbent plus de chaleur. Cet environnement crée un dôme thermique sous lequel les températures sont plus élevées que dans les zones moins urbaines, notamment la nuit. L’évaporation de l’eau permet de réguler ces excès de température et rafraîchit naturellement les espaces. Or, l’artificialisation des sols fait ruisseler immédiatement les eaux de pluie vers les collecteurs souterrains, empêchant le lent et rafraîchissant processus d’évaporation.
La fonction drainante est essentielle
C’est ce que je cherche à faire Alkern en perméabilisant les espaces publics, qu’ils soient dédiés au trafic de véhicules, au stationnement, ou à un usage piétonnier avec les produits de sa gamme O’. On y trouve des dalles d’infiltration qui offrent des zones perméables, drainantes, végétalisables et donc parfaitement aptes à lutter contre les îlots de chaleur, comme l’Hydrodalle et la Betogreen. On y trouve également des pavés drainants qui assurent leurs fonctions traditionnelles de pavage ainsi qu’un drainage efficace avec l’infiltration quasi-immédiate des eaux de pluies (Hydrojoint, Aquafil, Pavé Coquillage). Enfin, il ne faut pas oublier l’incontournable Hydrocyl, un cylindres creux en béton, de 8 cm de diamètre et de hauteur, les modules Hydrocyl se composent de 60 % de vide. qui servent à réaliser une couche sous l’assise du dallage et former un réservoir sous-terrain.