La « biostation » a pour l’heure un statut expérimental et relève d’un programme scientifique qui a pour but d’analyser pendant 4 ans les mécanismes de dépollution (via l’eau, le sol et les plantes), afin de cerner son utilité, en complément des filières traditionnelles de traitement.
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Durant quatre ans, les informations récoltées via des capteurs permettront de suivre le comportement du sol, des plantes, ainsi que la quantité et la qualité des eaux en entrée et sortie de ce périmètre végétal. Cette opération expérimentale possède un coût estimé à 1,6 million d’euros.