Le chantier du réseau ferré rapide du Grand Tunis (RFR) a reçu, fin avril, la visite du ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius. Une démarche qui souligne l’importance d’un projet dans lequel l’ingénierie française tient une place centrale.
Spécialisé dans le "mass transit and rail", le groupe français d’ingénierie Systra et son partenaire tunisien Studi assurent, en effet, la maîtrise d’œuvre Travaux de ce projet qui s’étendra sur 86 km. A terme, quelque 600 000 passagers pourront emprunter quotidiennement les 5 lignes qui composeront le réseau.