Le 31 mai dernier, Monnoyeur s’est officiellement engagé dans le partenariat sportif en soutenant un jeune skipper, Benjamin Ferré, qui participera au prochain Vendée Globe sous les couleurs du groupe. Philippe Monnoyeur, directeur général, nous explique pourquoi il a engagé l’entreprise dans cette nouvelle aventure.
BTP M : Philippe Monnoyeur, rappelez-nous la genèse du projet et ce qui vous a amené à parrainer le bateau de Benjamin Ferré ?
P.M : C’est avant tout une rencontre avec Benjamin Ferré bien plus qu’une volonté car, jusqu’ici nous n’avions jamais participé à ce type de partenariat. Nous avons été séduits par le marin qu’il est, mais aussi par son approche et le projet. En outre, les valeurs de ce sport résonnent beaucoup avec les valeurs d’une entreprise familiale comme la nôtre. Par ailleurs, ce projet coïncide également avec une période certaine dans l’évolution d’un groupe qui se développe beaucoup depuis quelques temps. En effet, de nombreux collaborateurs nous ont rejoints. Ils viennent de nombreux pays, avec de nouvelles cultures, et un dénominateur commun à tous les métiers existants au sein de la structure. Nous nous sommes dit qu’il fallait faire vivre ce dénominateur commun avec la marque Monnoyeur.
BTP M : L’officialisation de ce partenariat arrive quelques jours après le lancement de la nouvelle identité, du nouveau logo… C’était aussi une volonté de votre part d’accentuer cette visibilité ?
P.M : Nous voulons capitaliser sur la marque Monnoyeur qui est une marque intéressante ; elle véhicule ce qu’est le groupe depuis 115 ans, une entreprise dynamique en plein développement. Cette volonté de visibilité est souhaitée vers l’interne, autrement dit, l’ensemble de nos équipes et ceux qui nous ont rejoint, tout autant que vers l’externe pour nos partenaires, nos financiers, nos clients. Nous sommes actuellement dans une démarche pour expliquer que nous sommes un groupe qui se déplace toujours plus vers un monde du service. C’était donc le bon moment pour faire exister cette marque et ses valeurs.
BTP M : Vous le disiez, vous n’aviez jamais éprouvé le besoin de sponsoriser un évènement quel qu’il soit. Vous avez choisi la voile. Aurions-nous pu imaginer un autre sport ?
P.M : Selon moi, il existe une vraie communion de valeurs avec la voile mais encore plus avec la course au large, au regard de la dimension humaine d’une part, et de la dimension entrepreneuriale et technique d’autre part. Benjamin Ferré nous l’a montré, il travaille dans un écosystème très technique avec des expertises très élevées, ce qui raisonne fortement avec tous les métiers que Monnoyeur représente. Les points de contacts étaient nombreux, voire logiques, ce qui a rendu ce projet légitime et naturel !
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