Après plusieurs travaux de recherche & développement ainsi que de simulations informatiques commencés en 2016, le projet Spacetrain entre dans sa deuxième phase. Cette dernière porte sur la réalisation de maquettes à des fins d’études.
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Ces maquettes serviront à valider l’aérodynamisme de la navette ou encore la technologie des coussins d’air sur le monorail. Les fonds propres de l’entreprise permettent de réaliser ces premiers éléments. Cependant pour la construction du monorail d’essai, du premier prototype de navette et des recrutements d’ingénieurs supplémentaires, Spacetrain souhaite lever 30 millions d’euros.
En prenant en compte la construction de la ligne, la consommation énergétique, la navette et l’entretien régulier de l’infrastructure, le projet pourrait se développer pour un coût de construction équivalent à 8 millions d’euros du kilomètre. Un montant bien en deçà de ceux de ses principaux concurrents qui proposent près de 50 millions d’euros du kilomètre, du fait des choix des vitesses et de conditions de circulation assumés jusqu’à ce jour. A titre de comparaison le prix d’une ligne à grande vitesse se situe entre 20 et 30 millions d’euros par kilomètre.