Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et le Groupement des industries de construction et des activités navales (Gican) recensent le savoir-faire des acteurs français de la filière énergies marines renouvelables dans un document commun intitulé "L’industrie maritime française s’engage pour les énergies marines renouvelables".
 
En pleine COP21, le SER et le Gican publient un document destiné à rappeler que les énergies marines renouvelables constituent une voie d’avenir. Elles contribuent à la lutte contre le changement climatique, chère à la COP21, mais aussi à la réindustrialisation de la France dont l’avance dans ce domaine lui permet de se positionner à l’international. Pour rappel, l’Hexagone possède le deuxième potentiel européen derrière le Royaume-Uni et un savoir-faire complet en technologies maritimes. Forte de ces atouts, elle s’est fixée un objectif de 6 000 MW d’énergies marines renouvelables installés en 2020. Deux premiers appels d’offres ont été lancés en 2011 et 2013 pour un volume de 3 000 MW d’éoliennes en mer. Une opération créatrice de 10 000 emplois !