Selon les informations du Parisien, le monument est « encore en danger ». Pourtant, en six mois de temps, architectes, techniciens et artisans sont parvenus à consolider les deux-tiers de la cathédrale. « Mais le plus difficile reste à faire », a déclaré Michel Cadot, préfet de Paris et de la région Ile-de-France. Il reste encore à « purger tous les éléments de maçonnerie instables » et vérifier « la parfaite solidité de la cathédrale ».
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Les déblais ont été évacués et triés à 80 %, mais l’espace libéré a suscité des inquiétudes en matière d’étanchéité. C’est pourquoi un sas d’entrée, des zones de décontamination avec douches, des vestiaires et équipements de sécurité ont été mis en place cet été. Si la question de la pollution au plomb a été majoritairement résolue, le parvis, sujet aux plus fortes retombées lors de l’incendie, reste pour l’heure fermé au public.