« Nous avons performé très fort sur les segments des loueurs et de la construction, en partie grâce à la mise en place d’une nouvelle équipe dédiée », confirme Laurent Quichon, directeur général de Dieci France. Si le télescopique compris entre 13 m et 17 m reste égal à lui-même, des opportunités existent encore au vu d’un marché toujours plus demandeur de capacité pour le levage des palettes notamment. Mais les perspectives se situent plutôt du côté des super compacts.
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La réponse n’aura pas tardé : deux télescopiques viennent de faire leur apparition dans le réseau Dieci : le Pegasus 50.26 (5 t à 26 m) et le Pegasus 45.30 (4,5 t à 30 m). Tiré par les loueurs, le télescopique rotatif fait l’objet d’une offre plus importante ces dernières années. « Il évite la grue pour les travaux intermédiaires », explique le responsable Dieci.
Sur les chantiers de plus grande importance, à l’instar du Grand Paris, pas encore de débandade au niveau des commandes. « Les grands groupes de BTP se contentent de la location », observe Laurent Quichon. Le méga projet aura tout de même eu pour mérite de faire évoluer Dieci sur la motorisation de ses engins. « Nous avons été les premiers à mettre un filtre à particules, aujourd’hui obligatoire », rappelle le responsable.