BÂTIMENT - GROS OEUVRE
Marché de niche, le transporteur sur chenilles évolue de concert avec la construction. De petite capacité, cette machine trouve sa place sur les chantiers de rénovation, du bâtiment, des travaux publics et d’aménagement paysager qui requièrent souvent de la manutention manuelle sans efforts. Ses dimensions compactes lui permettent même d’opérer dans des espaces confinés comme les tunnels ou les stations de métro. Né thermique, celui qu’on appelle également mini-dumper sur chenilles, s’essaie désormais à l’électrique. Le transporteur à chenilles trouve peu à peu sa place sur le marché français. « Il représente environ 200 à 300 machines vendues par an », estime Nicolas Naccari responsable commercial chez Sud Est Distribution, distributeur exclusif d’Hinowa en France. « C’est un engin dont la santé dépend principalement du niveau du marché du BTP. Ainsi, entre 2017 et 2018, il a connu une croissance de 5 % ». À l’inverse d’une mini-pelle par exemple, il ne nécessite pas de gros investissement financier.
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PUBLIÉ LE 2 AOÛT 2018
JULIA TORTORICI
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Article publié dans
BTP Magazine n° 315.
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