Le projet de rénovation comprend la destruction de 34 établissements (de type Pailleron) datant des années 1960 et leur remplacement par 28 nouvelles écoles en six ans.
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Insensé entre autres pour l’ordre national des architectes, la Capeb, la fédération Cinov, le Snso (syndicat national du second œuvre) et le syndicat des architectes des BdR qui ont écrit mercredi à l’élu pour lui demander de renoncer au PPP.
Ils sont également signataires d’une pétition argumentant que seuls des grands groupes du BTP peuvent concourir à l’appel d’offres puisqu’il est demandé à l’attributaire d’assurer à la fois les fonctions de financement, de conception, de construction et d’entretien maintenance des ouvrages.
Par ailleurs, depuis la réforme d’avril 2016 de la commande publique, le choix du PPP ne doit être envisagé que lorsque le projet présente une complexité technique. D’après les six opposants, les travaux de rénovation d’établissements scolaires ne rentrent pas dans cette catégorie.