La cour est donc allée dans le sens du tribunal administratif de Grenoble qui avait annulé l’arrêté préfectoral autorisant le projet en 2015 au motif qu’il ne respectait pas la loi sur l’eau et contribuait à la destruction d’espèces protégées. Le 12 décembre dernier, la cour administrative a donc confirmé cette décision et demandé l’annulation des deux arrêtés préfectoraux ayant autorisé le projet en 2014.
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