Cette reprise (désormais confirmée) s’explique par le dynamisme des ventes de logements neufs qui s’est manifesté dès fin 2014, le niveau très bas des taux d’intérêt ainsi que l’environnement institutionnel propice soutenu par les dispositifs PTZ et Pinel. Elle reste marquée par le redressement du segment du non résidentiel neuf, plombé par les bâtiments administratifs, qui affiche un recul contenu de 1,7%. Le segment de l’amélioration-entretien connaît également une année morose avec une hausse d’activité de 0,5%. Sur cette base, le secteur du bâtiment affiche une stabilisation de ses effectifs en 2016, avec un intérim vigoureux (+10 000 postes en équivalent-emplois à temps plein) et un recul contenu de l’emploi salarié (-10 000 postes).
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