La décision était dans les cartons, révélait Les Echos le 16 février dernier. Mais ce sont les organisations professionnelles du Seimat (Syndicat des entreprises internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage), du Simotherm (Syndicat international des industries et du commerce du moteur thermique et de ses applications) et de la Ficime (Fédération des entreprises internationales de la mécanique et de l’électronique) qui confirment officiellement la nouvelle, après de plus amples investigations.
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"Nous sommes pleinement satisfaits de cette décision. En effet, nos demandes et actions répétées auprès des pouvoirs publics au cours de ces dernières semaines ont été entendues !", fait savoir Pascal Petitjean, secrétaire général du Seimat.