"Cet engin se positionne sur un segment de marché dont le développement accompagne celui des villes", explique le vice-président du groupe nippon, Jean-Marc Reynaud. Or, en matière de chantiers urbains, la principale problématique tient dans la capacité d’une machine à fournir un niveau de productivité élevé, tout en réduisant son empreinte sur site.
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L’intégration de cette technologie d’origine japonaise sur les marchés européens soulève néanmoins la question de la capacité des clients utilisateurs et loueurs à se l’approprier. Sur ce point, Jean-Marc Reynaud se veut rassurant. "La grande majorité des opérateurs européens disposent du savoir-faire requis pour intégrer facilement cette 8 tonnes dans leurs pratiques et dans leurs parcs. Lorsque l’on observe le niveau de professionnalisation dans les pays nordiques, en Allemagne ou encore en France, je ne doute pas qu’il existe un vrai potentiel de marché", conclut le dirigeant.