Avec un exercice 2014 en légère hausse, Mecalac résiste encore et toujours à la spirale déflationniste récurrente au monde de la construction. Mais loin de se satisfaire de ces performances, le constructeur français continue d’investir lourdement en R&D et surtout de défricher de nouveaux marchés plus au moins éloignés de ses bases.
BTP Magazine : Quel est le positionnement du groupe Mecalac sur ses différents marchés ? Alexandre Marchetta : Le marché français est toujours prépondérant avec 45 % de notre chiffre d’affaires, suit l’Allemagne avec 35 % et le reste du monde à 25 %. Notre objectif à 5 ans est d’arriver à équilibrer cette répartition, ce qui résultera d’une politique d’expansion géographique assez ambitieuse.
BTP Mag : Ou sont et seront situés vos relais de croissance ?
A. M. : Notre organisation industrielle, qui se compose de 3 sites de production principaux, en France, Allemagne et aujourd’hui en Turquie est le support indéniable à l’internationalisation de la marque Mecalac. Nous avons parallèlement, une démarche pro active de partenariat avec des structures de distribution existantes comme en Algérie avec Bergerat Monnoyeur, en Australie avec Digrite à Perth ou tout récemment en Roumanie avec CTE Solution. Ou alors nous investissons directement, le cas échéant quand un potentiel important est détecté, dans une structure propre à Mecalac comme c’est le cas en Pologne aujourd’hui où nous avons ouvert une filiale, Mecalac Polska, à Katowice il y a deux ans et nous venons d’ouvrir un second établissement à Wroclaw ...
Retrouvez l’intégralité de l’interview d’Alexandre Marchetta, directeur général adjoint du groupe Mecalac dans le Spécial Matériels de BTP Magazine, bientôt disponible.
En photo : Alexandre Marchetta, directeur général adjoint du Groupe Mecalac
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