Laissées vacantes depuis le 24 février dernier et la démission surprise de Jacques Rapoport, ces fonctions devraient donc échoir à l’actuel président de la société Keolis, filiale à 70 % de la SNCF, et de l’Union des Transports Publics Ferroviaires (UTP).
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La candidature de Jean-Pierre Farandou est désormais soumise à l’accord de l’autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) ainsi qu’au vote des commissions compétentes de l’Assemblée Nationale et du Sénat. Elle fera ensuite l’objet d’un décret de nomination en conseil des ministres sur rapport du ministre chargé des Transports.