Selon une dépêche AFP reprise par le site Boursorama, l’UFC-Que Choisir estime que ces contrats pluriannuels de délégation de service public, renouvelés en octobre dernier, ne défendent pas assez les passagers au vu de la ponctualité souvent défaillante des transports en commun de la région parisienne. L’association égratigne aussi au passage les candidats aux prochaines élections régionales, les accusant de vouloir faire de la ponctualité une priorité de leur action alors que les contrats sont déjà quasi-signés. La dépêche AFP cite un communiqué de l’UFC-Que Choisir, qui regrette l’absence « d’un droit au remboursement automatique en cas de retards récurrents ».
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