Si ce dérapage budgétaire est à mettre sur le compte de la "remobilisation du chantier "suite à un multiple report de décision d’investissement, à l’adaptation du design" au contexte du Royaume-Uni et aux "demandes des régulateurs", sans oublier "la mise au point des contrats avec les fournisseurs", un surcoût supplémentaire de 797 M€ est encore à prévoir au vu des retards de livraison des deux EPR : 15 mois pour le premier réacteur et 9 mois pour le second.
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