Patrick Ollier, président de la Métropole du Grand Paris a rappelé que "la Métropole du Grand Paris verra ses compétences opérationnelles en matière environnementale étendues à la lutte contre les nuisances sonores, dès le 1er janvier 2018. Dès 2016, la Métropole s’est engagée dans le cadre du Fond d’Investissement Métropolitain et du Pacte Métropolitain d’Innovation, en apportant son soutien à plusieurs programmes de résorption de points noirs de bruit à Vanves-Malakoff, Saint-Denis et Bagnolet".
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"Ces cartes donnent de la lisibilité à une nuisance qui est vivement ressentie par les habitants du territoire métropolitain. 78% d’entre eux se déclarent ainsi préoccupés par le bruit1. Les impacts du bruit sont devenus un véritable problème de santé publique, générant troubles du sommeil, risques cardiovasculaires accrus, gêne, stress, fatigue... Un habitant de la zone dense perd en moyenne 7 mois de vie en bonne santé du fait de son exposition au bruit des transports. Le coût social global de la pollution sonore en Ile-de-France a même pu être évalué récemment à plus de 16 milliards d’euros par an !", souligne Didier Gonzales, président de Bruitparif.