Ce projet de Recherche & Développement prévoit la construction de 10 000 logements (d’une superficie comprise entre 25 et 250 m²), de bureaux, d’espaces de travail, d’ateliers, de bases scientifiques, de fermes marines, d’espaces agricoles bio, de vergers et jardins communautaires et de lagunes de phytoépuration, le tout répartis sur 1 375 000 m². Ce village subaquatique est imprimé en 3D à partir de l’algoplast, un matériau composite à base d’algues et de déchets plastiques du 7è continent triés puis broyés en granulés. Les microparticules en suspension sont ensuite filtrés sur une profondeur de 10 à 30 m puis mélangés à une émulsion d’algues gélifiantes afin de pouvoir l’extruder sous forme de filaments écologiques. Ces bobines de filaments écologiques sont transformés en matériaux étanches et durables.
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Pour produire de l’eau potable et de l’eau douce pour l’aquaculture, la centrale océanothermique utilise la pression exercée en profondeur pour vaincre la pression osmotique et séparer l’eau et le sel via une membrane semi-perméable. Le renouvellement de l’air se fait soit naturellement par convection à travers les cheminées à vent innervant les quatre branches de la torsade, soit par la station à oxygène par électrolyse de l’eau de mer.