Lafarge n’en est pas à son premier faux pas. Le groupe franco-suisse avait déjà essuyé les plâtres lorsqu’une enquête l’avait accusé d’avoir indirectement financé le groupe Etat islamique en Syrie. Le 9 mars dernier, la polémique a pris une nouvelle direction lorsqu’il a proposé ses services dans le cadre du projet de construction du fameux "Mur Trump" entre Etats-Unis et Mexique. Le projet, fortement décrié à l’échelle mondiale pour son caractère xénophobe et néfaste, est également dans le collimateur du Conseil de Paris, saisi par le groupe écologiste.
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