Les carrières Roy s’inquiètent de la chute des travaux routiers qui menace leur activité en 2016.
Avec l’effondrement des commandes publiques, les travaux routiers ne courent pas les rues. Et c’est précisément dans ce domaine que les carrières Roy espèrent compenser le manque à gagner consécutif à l’achèvement des grands projets ferroviaires comme la LGV Tours-Bordeaux.
Si la carrière de la Gouraudière devrait maintenir le cap en 2015 grâce notamment aux travaux réalisés sur les LGV, la carrière de la Noubleau devrait accuser un recul de 10% "en raison du marasme de la voirie", rapporte La Nouvelle République.
Outre l’espoir de voir reprendre les travaux d’entretien du réseau routier avec l’exemple du chantier d’enrobé de la déviation de Brion, les carrières Roy pourraient tirer un substantiel profit de la future liaison du canal Seine-Nord Europe, précise La Nouvelle République.