Avec 650 nacelles produites en 2016, et 750 planifiées en 2017, le français ATN continue sa lente mais sûre progression. L’export sera le levier de croissance privilégié.
 
« Comment de devenir un acteur incontournable du marché de la nacelle, si ce n’est en développant constamment et parallèlement notre offre et nos implantations géographiques », s’exclame Thomas Meheust, le nouveau directeur commercial d’ATN. Il y a 3 ans, l’export ne représentait que 25 % du CA d’ATN, aujourd’hui 50 %, et d’ici à 5 ans, 75 %. Les meilleures performances d’ATN ont été obtenues en Allemagne, au Benelux, en Scandinavie et dès cette année au Royaume-Uni où le constructeur français sait qu’il a une grande marge de progression.

« Nous bénéficions de l’effet boule de neige, les loueurs européens ont testé nos matériels, approuvés leur rapport qualité/prix et leur fiabilité et aujourd’hui multiplient leurs commandes. Ce qui valide d’ailleurs notre concept de nacelles dédiées à 100 % à la location. Et le déploiement de notre gamme va conforter ce positionnement, avec l’arrivée prochaine d’une nacelle araignée de 17 m, en coeur de marché et d’un plus grand ciseaux en plus de notre best-seller en 12 m présentant une charge utile incroyable de 1,1 t », argumente Thierry Meheust.

Le chiffre d’affaires d’ATN devrait dépasser les 19 M€ en 2017 après avoir atteint 17 M€ en 2016. Et comme le répète Thomas Meheust, « nous n’avons pas de limite dans notre progression et nous visons les 100 M€ dans 10 ans ».