Le top 3 est largement occupé par les villes de New York (USA), Londres (Uk) et Hong Kong (Chine). Le rapport rapporte que c’est en partie à cause de leur statut de places financières que leurs coûts de construction s’envolent jusqu’à 60% au-dessus de ceux pratiqués dans les capitales europénnes.
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Dans ce rapport qui se penche sur pas moins de 44 villes, on estime que les positions fortes des monnaies et l’approvisionnement très contraint en ressources ont fait fortement grimper les coûts de construction pour les villes du Top 3. En zone euro, les inflations observées aux USA et au Royaume-Uni n’ont heureusement pas d’impact sur la relance de la construction en Europe continentale.